Et si de la simplicité au bonheur il n’y avait qu’un pas

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Et si le bonheur n’était pas dans l’accumulation ? Et si le secret consistait au contraire, à revenir à la simplicité ? À l’essentiel. Renoncer à la possession de multiples objets superficiels, faire le tri dans notre vie pour ne garder que les choses importantes et qui ont du sens. Se focaliser sur ces choses qui nous sont le plus chères, pour réapprendre à vivre simplement.

Si l’idée est souvent tentante, elle reste vue comme abstraite. La cause ? Certainement la difficulté à trouver des éléments concrets à mettre en place dans notre vie quotidienne. Alimentation, voyage, décoration intérieure et habitat, style vestimentaire, moyen de locomotion ou encore gestion de notre temps : revenir à une vie simple est tout, sauf difficile.

D’une vie simple à une vie riche

Qui, ne s’est jamais plaint, de ne pas avoir suffisamment de temps  dans une journée, pour faire tout ce qu’il aurait aimé faire ? Pourtant, une journée est inéluctablement constituée de 24 heures, soit 1 440 minutes. Objectivement cette durée est relativement longue. Alors trouver que le temps passe vite, ou non, n’est qu’une affaire de perception. La question que nous pouvons tous nous poser est celle-ci : notre temps est-il occupé par les bonnes choses ? Revenir à la simplicité, c’est sortir de notre frénésie quotidienne pour s’adonner à une réappropriation du temps – retourner à rythme humain, en quelque sorte.

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Mais opter pour la philosophie Slow et un mode de vie plus simple, c’est aussi remettre en question la justesse de ce qui nous entoure au quotidien. Ai-je réellement besoin de me remettre sur l’ordinateur, à peine rentré du travail ? Ai-je réellement besoin d’être équipé du téléphone portable dernier cri ? Ai-je réellement besoin de rajouter une épaisse sauce industrielle sur mon plat ?

Un objet = une utilité – Une perception = un sentiment

Depuis ces dernières années, les objets se sont vus devenir de plus en plus épurés. De plus en plus bruts. Du design minimaliste aux décorations scandinaves, en passant par cette mode hipster-vintage : derrière notre goût pour les choses simples, se cache bien souvent une envie plus complexe.

Aujourd’hui, un objet ne doit plus se contenter d’avoir une unique fonction, pour être socialement intégré. Il doit rendre la vie plus “simple” en ayant plusieurs utilisations. Ainsi, le smartphone est l’exemple parfait d’une rationalité, qui prend toujours plus de place. Mais cette simplicité-là, est illusoire : à chaque nouvelle fonction naît un nouveau besoin.

Et si la clé du bonheur, était de revenir à la fonction première d’un objet ou d’une action ?

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Et si on ajoutait du sens à nos habitudes superficielles ?

Par extension, ce goût pour l’épuration de tout aspect superficiel de notre vie, nous apporte une clarté nouvelle : un sentiment de bien-être. De la même façon que la paix intérieure est uniquement accessible dans le silence : se recentrer sur soi, ne serait ainsi possible qu’après avoir retiré toutes sources de distractions quotidiennes. Ce bruit de la superficialité, que tous, connaissons bien.

N’est-ce pas là, finalement, l’idéal même de la beauté artistique ?

Faire résonner de profonds sentiments, jusqu’à ce que ceux-ci émanent de l’intérieur de notre être ?

La simplicité provoquerait ainsi un écho identique :

  • Dans l’alimentation, les goûts et les saveurs naturelles des aliments deviennent davantage perceptibles.
  • Dans l’art et la décoration, les formes épurées et les courbes minimalistes sont particulièrement propices à l’inspiration et à la lecture.
  • Dans l’habitat, le feng shui et le mobilier scandinave ont tendance à créer une ambiance cosy, dans laquelle on se sent bien.
  • Dans le voyage, le slow travel est idéal pour connecter le voyageur à son environnement extérieur, et intensifier ainsi son expérience.
  • Dans la vie quotidienne, lire, écrire, créer ou encore partager, sont des activités qui nous invitent à l’introspection.

Et si la simplicité était l’élément sine qua non pour une vie saine, équilibrée et heureuse ?

Et si la clé du bonheur était simplement là, cachée sous un amas de superficialité ?

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[mp_quote cite=”Sylvain Tesson, “Dans les forêts de Sibérie”” cite_url=”#” quote_content=”‘S’asseoir devant la fenêtre le thé à la main, laisser infuser les heures, offrir au paysage de décliner ses nuances, ne plus penser à rien et soudain saisir l’idée qui passe, la jeter sur le carnet de notes. Usage de la fenêtre : inviter la beauté à entrer et laisser l’inspiration sortir. ‘” margin=”25,25,none,none”]

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